Pour notre deuxième partage de février, je vous propose de continuer à rendre hommage à notre grand fabuliste Jean de la Fontaine qui a parcouru les siècles sans perdre de son influence dans la culture francophone. En effet, chacune de ses fables ou de ses morales va continuer à servir de fil conducteur pour que nous partagions sur des thèmes variés de l'humanité que ne change pas tant que cela depuis le XVIIe siècle !
Bienvenu(e)s donc pour cette nouvelle rencontre et, en attendant, je vous souhaite de la douceur ensoleillée dans les coeurs !
Isabelle
Je vous retranscris les morales abordées le 1er février :
Ne viens jamais,Ô mort ! On t'en dit tout autant (La mort et le malheureux)
Car c'est double plaisir de tromper le trompeur. (Le coq et le renard)
Mais comme il n'y pouvait atteindre,
"ils sont trop verts, dit-il, et bons pour les goujats". (Le renard et les raisins)
J'approuve sa prudence ; il était expérimenté,
et savait que la méfiance est mère de sûreté. (Le chat et le vieux rat)
Un sou quand il est assuré
vaut mieux que cinq en espérance. (Le berger et la mer)
Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde.
On a souvent besoin d'un plus petit que soi. (Le lion et le rat)
C'est proprement le mal français
la sotte vanité nous est particulière.
les Espagnols sont vains mais d'une autre manière,
leur orgueil me semble en un mot
beaucoup plus fou mais pas si sot. (Le rat et l'éléphant)
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