Très cher(e)s fidèles de "parlons ensemble",
Cette fois-ci, nous allons nous
intéresser à ces histoires individuelles de nos ancêtres, qui créent la grande
histoire aussi.
La petite histoire qui raconte la
grande | Le Devoir
En quoi les récits de nos parents et grands-parents, de notre entourage
familial nous a-t-il marqués, constitués, troublés, orientés dans nos
existences ?
Nous ne venons pas en ce monde du néant, et les histoires personnelles de
chacun de ceux qui nous ont permis de venir au monde au fil du temps ont laissé
une marque, laquelle selon vous ?
Que faire de ces témoignages directs, de ce bagage oral d'existences
proches dans nos coeurs et nos parcours, de ces photos vieillies avec le cours du temps et les générations se succédant ?
Aimeriez-vous si c'était possible les compiler, voire en faire un livre
avec ou sans aide professionnelle ? Est-ce un devoir que celui de transmettre
l'épopée familiale ?
Comment transmettre son histoire
familiale à ses enfants ? - France Bleu
La mode des arbres généalogique vous attire-t-elle ?
Pensez-vous que les personnes âgées ont perdu de leur protagonisme
ancestral puisqu'ils vivent moins habituellement au sein des familles dans la
société d'aujourd'hui ?
Est-il souhaitable de tout connaître sur nos ancêtres, jusqu'aux aspects
les plus répréhensibles, pénibles, les violences ou les tragédies par exemple ?
Les secrets de famille sont-ils défendables ? Parvient-on à les déceler
intuitivement ? Peuvent-ils être motifs de blocages ou de troubles profonds ?
On sait depuis peu que les traumas de nos ancêtres seraient inscrits d'une
certaine façon dans nos gênes, cela explique-t-il les répétitions inconscientes
d'erreurs, les orientations apparemment étranges de nos vies ?
Quels sont les souvenirs qui vont paraissent les plus essentiels à
transmettre à ceux qui nous suivent ?
Je vous attends avec la joie d'un nouvel échange ensemble.
Isabelle